Archives des Bien-être au travail - U-Raise https://www.uraise.pro/tag/bien-etre-au-travail/ Wed, 12 Apr 2023 07:55:21 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.1.1 https://www.uraise.pro/wp-content/uploads/2022/11/cropped-logo-32x32.png Archives des Bien-être au travail - U-Raise https://www.uraise.pro/tag/bien-etre-au-travail/ 32 32 Apprendre à dire non et poser des limites au travail https://www.uraise.pro/apprendre-a-dire-non-poser-des-limites-au-travail/ Tue, 18 Apr 2023 04:30:00 +0000 https://www.uraise.pro/?p=2536 Afin de pouvoir être au mieux dans vos relations avec autrui et donner le meilleur de vous au travail, il faut parfois savoir dire non et poser des limites !

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Vous rencontrez des situations au travail où vous aimeriez refuser, mais c’est plus fort que vous… Vous finissez toujours par accepter par acquit de conscience. Et puis vous regrettez, vous sentez que vous donnez plus que vous ne le souhaiteriez ! Mais pourquoi ? Savoir dire non pour vous préserver, pour respecter vos principes et valeurs, votre énergie, votre temps disponible, conserver votre alignement… Les raisons et bénéfices sont multiples ! Rappelez-vous que l’on ne verse rien d’une carafe vide. Autrement dit, afin de pouvoir être au mieux dans vos relations avec autrui et donner le meilleur de vous au travail, il faut savoir poser des limites, les vôtres !

U-Raise vous livre les causes de cette difficulté à dire non, et un mode d’emploi tout en douceur pour disséminer des barrières petit à petit dans votre sphère professionnelle.

Pourquoi ne sait-on pas dire non ?

Plusieurs cas de figure peuvent expliquer votre impossibilité à émettre un refus.

Peut-être avez-vous…

  • peur de renvoyer une mauvaise image de vous-même,
  • des difficultés à connaître réellement vos besoins et vos envies (un bilan de compétences peut vous apporter les réponses en attente !), 
  • Peur de ne plus être aimé et apprécié,
  • Peur du conflit, 
  • Un manque de confiance en vous
  • La crainte de prendre une décision,
  • Peur de faire du mal ou blesser quelqu’un,
  • Des croyances ancrées malgré elles : il ne faut pas être égoïste, on doit être poli, prioriser les besoins des autres avant les siens, des refus qui n’ont pas été écoutés par le passé… 

Et tout ceci empiète sur votre sentiment de légitimité ou d’authenticité pour décliner et poser des limites. Forcément, cela a un impact sur votre bien-être personnel.

1. Prendre le temps…

Souvent, quand on a du mal à exprimer une négation, c’est que l’on n’arrive pas à répliquer dans la précipitation. La solution préférable est alors de vous accorder ce temps nécessaire.

Premièrement, pour votre propre réflexion. Peut-être que vous n’êtes pas dans la meilleure humeur ou la tête accaparée dans un dossier ou une tâche qui vous demande une concentration totale.

Deuxièmement, pour ne pas avoir l’impression d’être trop brutal dans votre façon de répondre.

Ainsi, vous vous octroyez le temps d’étudier si la proposition qui vous est adressée vous convient. Vous pouvez peser le pour et contre, et ressentir si c’est aligné avec vous et vos souhaits du moment. Et si vous êtes prêt à valider.

  • Avez-vous le temps d’accepter cette offre ?
  • Le contraire vous pénalise-t-il ? Si oui, dans quelle mesure ?
  • Êtes-vous en mesure de vous organiser pour accepter ?

Apprenez alors à dire que vous réfléchissez et que vous revenez vers votre interlocuteur dans une heure, d’ici à 2 jours, la semaine suivante, etc. Une date butoir suffisante pour vous laisser un instant pour « dormir dessus » (la nuit porte conseil !), mais également respectueuse de celle de votre interlocuteur. 

Ainsi, vous saurez  si vous pouvez donner suite ou pas, selon vos plans personnels et professionnels. Dans le cas contraire, ce sera un ‘non’ sur mesure.

2. Assumer son ‘non’

De toute façon, gardez en tête que vous n’êtes pas obligés de justifier votre refus ! Si vous êtes interrogé, c’est bien que le choix d’un ‘oui’ ou d’un ‘non’ s’offre à vous.  Vous pouvez, par conséquent, simplement décliner ou être complètement honnête.

« Je n’ai pas envie », « je ne préfère pas donner suite », « ce n’est pas le moment pour moi », « je n’ai pas l’énergie » … sont des réponses valides.

Toutes les réponses négatives sont recevables du moment qu’elles sont respectueuses, partagées dans un contexte qui s’y prête et d’une manière appropriée.

3. Dédramatiser 

N’hésitez pas à prendre du recul et couper l’affolement de votre mental. Il s’agite avec l’envie de garder de bonnes relations et d’être bien vu au travail. 

Vous êtes sur le point de refuser une invitation, une proposition ou une sollicitation sur un projet professionnel ?

Ce n’est pas grave. Vous ne dites pas non à la personne qui est en face de vous, mais à sa demande. 

De plus, vous aurez sûrement d’autres occasions à l’avenir ! Et si ce n’est pas le cas, vous avez su vous écouter. Vous avez répondu à votre besoin du moment (repos, temps, désintérêt de l’offre, non-alignement avec vos valeurs…). Et juste pour ça, félicitez-vous !
N’ayez pas de culpabilité. Un refus ne fait pas de vous pour autant une personne nonchalante, passive ou non serviable. Vous êtes quelqu’un qui a la tête sur les épaules, connectée à ses envies et ressentis, et qui sait ce qu’elle veut (ou du moins, ce qu’elle ne veut pas ! ☺).

4. Saupoudrer de tact 

Il y a toujours des circonstances et une façon de s’exprimer ! La diplomatie est alors la clef dans votre communication. Et ce, d’autant plus dans le monde professionnel où vous êtes sûrement amené à côtoyer de nouveau votre interlocuteur ! En effet, il peut être votre client, votre responsable ou votre collègue.

Si vous en avez envie, vous pouvez vous excuser par politesse, mais évitez le basique « Non », un peu brut et trop droit au but !

L’empathie est aussi conviée dans votre message. Une ouverture est envisageable comme : « peut-être une prochaine fois », peut être exprimée.

  • Privilégiez également une tournure positive. En effet, le cerveau humain ne prête pas attention à la négation ‘ne pas’. Ne pensez pas à un marteau bleu. Alors, qu’imaginez-vous ? Voici un exemple de refus formulé de manière affirmative : « Merci, mais dans l’immédiat, j’ai une priorité ».
  • Dites merci. Simple, mais efficace ! Vous démontrez ainsi de la reconnaissance à votre relation professionnelle d’avoir pensé à vous.
  • Attention à éviter de tomber dans un engagement futur sans faille comme « Oui pour la prochaine fois ». Vous n’êtes pas devin, vous ne savez donc pas si vous serez en mesure d’accepter !

5. Garder le cap

Votre interlocuteur insiste ? Il argumente sur les nombreux intérêts que vous auriez à accepter, les avantages pour vous… Ne cédez pas pour autant si vous êtes bien au clair avec vos aspirations actuelles ! Vous avez pris le temps d’y penser et vous avez refusé. 

Ici, rien ne tombe plus sous le sens que d’adopter « une main de fer dans un gant de velours ».

C’est votre allié redoutable pour être suffisamment explicite et ferme sur votre refus (et ses raisons uniquement si vous souhaitez à votre tour développer vos réserves), tout en étant assertif. De cette attitude, vous conservez des relations sereines, endossez une posture d’affirmation de vous-même, tout en étant respectueux des autres. Vous risquez sinon de vous en vouloir d’avoir cédé !

6. Proposer une alternative

Vous êtes mal à l’aise à l’idée de décliner une sollicitation ? Vous pouvez toujours offrir un plan B à votre interlocuteur si vous êtes en difficulté avec un ‘non’ de but en blanc !

  • Il peut être un oui déguisé, mais à vos conditions : dans tel délai, dans tel contexte, en doublon avec un collègue… 
  • Votre alternative peut aussi être de participer partiellement, de vous occuper de la gestion du projet, de la phase de contrôle…

Vous ferez preuve d’initiative et de volonté. Vous vous sentirez possiblement plus à l’aise avec cette nuance d’un léger refus, mais d’une nouvelle proposition de solution. De plus, remarquez qu’un jeu de bascule s’effectue ici, c’est désormais à l’autre personne de vous répondre oui ou non !

“Savoir dire non, c’est se dire oui à soi-même” Jacques SALOMÉ

Préférez être aux commandes de votre vie, plutôt que d’en être passif et laisser autrui décider pour vous !

C’est inconfortable de se résigner à accepter tout en vivant mal les choses tout au long de leur déroulement.

Vous êtes réconcilié avec l’envie de dire non ? 

Remémorez-vous qu’apprendre à exprimer vos limites est bénéfique, à la fois pour l’image de soi, pour vous-même, mais également envers vos collaborateurs, clients, prestataires, votre direction… 

Si des opportunités se présentent, sondez-vous pour confirmer qu’elles répondent à vos objectifs du moment et sur le long terme. Assurez-vous aussi de rester en accord avec votre for intérieur.

Laissez-vous le temps et accordez-vous la permission d’expérimenter le ‘non’ lors de vos prochaines sollicitations. Apprendre à refuser fait partie d’un processus d’évolution de votre conscience dans sa totalité.

Offrez-vous cette progression dans le temps, pas après pas !

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S’engager pour l’égalité des chances https://www.uraise.pro/egalite-des-chances/ Thu, 13 Apr 2023 04:30:00 +0000 https://www.uraise.pro/?p=2673 Et si vous agissiez pour l'égalité professionnelle dans votre entreprise ? Découvrez comment agir facilement en tant que salarié

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L’égalité des chances en tant que salarié est un sujet qui vous tient à cœur ? Vous aimeriez pouvoir agir au sein de votre entreprise pour aider les femmes et personnes issues de minorités à vivre au mieux leur quotidien salarial ? Nous vous offrons quelques clés pour y voir plus clair et vous engager pour l’égalité des chances dans votre entreprise. 

Qu’est-ce que l’égalité des chances au sein d’une entreprise ?

L’égalité salariale entre hommes et femmes 

L’égalité des chances dans une entreprise, c’est offrir à ses employés un traitement égal, peu importe leurs âges, leurs nationalités, ou encore leurs sexes. 

Le 15 septembre 2016, une loi a été votée par la Chambre des Députés en ce qui concerne l’égalité salariale entre hommes et femmes au sein d’une même entreprise. Pour autant, qu’en est-il réellement ? Les résultats de l’Index de l’égalité professionnelle en 2022 parlent d’eux-mêmes. Sur la totalité des entreprises interrogées, 2% enregistrent la note de 100%, contre 98% restants qui doivent encore produire des efforts et mettre en place des choses concrètes pour atteindre un niveau maximal d’égalité hommes-femmes. 

Les indicateurs sont malgré tout en progression, depuis que le test a été mis en place… En 2019, ce qui est donc très récent. Le ministère et l’inspection du travail ont déjà, depuis 2019, effectué plus de 32 460 interventions, et adressé plus de 500 mises en demeure pour non-application de la loi concernant l’égalité professionnelle entre les sexes (chiffres issus du rapport de l’Index le 8 mars 2022). 

L’égalité de traitement entre les sexes

Si l’égalité salariale est atteinte dans de nombreuses entreprises en France, il n’en est pas de même pour l’égalité de traitement. Les stéréotypes de genre ont la peau dure : les femmes sont souvent discriminées à cause de leur aptitude à porter un enfant. Lors d’un entretien d’embauche, il n’est pas rare que la personne en charge de l’entretien demande à la candidate si elle compte avoir des enfants dans les prochains mois, auquel cas sa candidature peut être remise en cause par rapport au congé maternité. De nombreuses barrières invisibles existent également entre les différents sexes : les hommes se verront confier des tâches plus importantes, tandis que les femmes pourraient bien être relayées au second plan. 

Les stéréotypes de genre ne sont heureusement pas courants dans toutes les entreprises. Toutefois, Patrick Scharnitzky, docteur en psychologie sociale, insiste sur la nécessité pour les RH de mener des actions concrètes sur l’équité de traitement, en formant les managers et en rendant les postes attractifs pour tous et toutes. 

Les femmes et minorités en entreprise peuvent rencontrer des freins, notamment au niveau du plafond de verre : un blocage dans l’évolution professionnelle, sans raison visible. La DARES  (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques) compte seulement 13 métiers véritablement mixtes sur un total de 87 familles de métiers identifiés. Cela donne à réfléchir… 

L’égalité des chances au niveau du handicap

Pour qu’une entreprise soit réellement égalitaire et s’engage pour la diversité, elle doit agir sans faire fi des genres, des nationalités, mais également s’engager pour les personnes en situation de handicap. En France, bien que l’intégration des personnes en situation de handicap soit considérée comme réussie par un grand pourcentage d’entreprises, le recrutement s’avère encore compliqué. 

Le manque d’information et de moyens mis à disposition pour laisser toute leur chance aux personnes en situation de handicap est un vrai problème. Il est primordial d’identifier les besoins quotidiens de ces personnes et de les accompagner pour comprendre leur fonctionnement et, par conséquent, les choses qui peuvent être mises en place pour elles. En vous tenant à leur côté durant leur intégration et en les accompagnant au quotidien, vous contribuerez à améliorer leur qualité de vie au sein de l’entreprise.

Que faire pour s’engager pour l’égalité des chances dans son entreprise ?

1. Pratiquer le management responsable 

S’engager pour l’égalité des chances dans son entreprise passe majoritairement par le management. La mise en place des grilles de salaire claires permet aux salariés issus de sexes et genres différents de constater une vraie équité au niveau de la rémunération.

Exclure le sexisme, le racisme, et agir contre les violences et harcèlements sur le lieu de travail doit également faire partie du quotidien des personnes dirigeantes : prendre en compte les remarques, sanctionner les conduites problématiques et garder un œil sur d’éventuels conflits permet d’instaurer un climat sain. 

Au niveau du recrutement, les informations véhiculées par l’entreprise doivent être claires. Lors des entretiens, les femmes, les personnes issues de minorité ou en situation de handicap doivent bénéficier du même traitement que les hommes. 

2. Communication inclusive et positive

Pour faciliter la communication et renvoyer une image positive de l’entreprise (en interne et en externe), vous pouvez « dégenrer » les titres et opter pour des dénominations inclusives : « responsable », « poste de direction », etc. De cette façon, tout le monde pourra se sentir concerné et le langage ne sera pas une barrière à la communication dans l’entreprise.

En travaillant sur les visuels pour les rendre mixtes et inclusifs, l’entreprise renverra une image moins genrée,  plus positive et plus inclusive. Ce travail de fond permettra à la marque employeur de s’engager publiquement pour l’égalité des chances et contribuer à instaurer un climat de travail sain. 

Il est nécessaire de rester à l’écoute de ce qu’il se passe en interne, pour pouvoir agir rapidement en cas de discrimination. 

3. S’engager pour le changement

En tant que personne salariée, vous pouvez tout à fait vous engager dans une association, ou encore organiser des campagnes de sensibilisation. Si vous êtes responsable, vous pouvez animer des séminaires et présenter les actions en cours dans l’entreprise pour favoriser l’égalité et la mixité. En impliquant les équipes et en communiquant autour de votre projet, vous pourrez sensibiliser vos équipes tout en restant à leur écoute et inclure leurs idées. 

En intégrant vos collaborateurs, vous créerez une nouvelle énergie et tout le monde se sentira beaucoup plus impliqué dans ce renouveau. Si quelques personnes se montrent réfractaires, questionnez-les sur leurs doutes et leurs besoins, et au besoin, rappelez-leur la charte de l’entreprise, incluant les différents éléments en faveur de l’égalité. 

Lire l’article “Comment se faire des alliés”

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Détecter et éviter le burn out https://www.uraise.pro/detecter-et-eviter-le-burn-out/ Wed, 12 Apr 2023 04:30:00 +0000 https://www.uraise.pro/?p=2670 Burn out : symptômes, causes et solutions pour détecter et éviter l'épuisement professionnel

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Le burn out, aussi appelé épuisement professionnel en français, est un trouble psychique déclenché généralement par une surcharge de stress liée au travail. S’il est aujourd’hui davantage reconnu dans notre société, le burn out n’en est pas moins considéré parfois comme quelque chose que l’on peut éviter en un claquement de doigts. Or, comme tout sujet touchant à la santé mentale, il ne doit pas être négligé ni pris à la légère. Alors, comment détecter le burn out ? Et surtout, comme l’éviter ?

Qu’est-ce que le burn out ?

Observé depuis 1950 en France et un peu plus tôt aux États-Unis, le burn out n’est pas, comme on pourrait l’entendre, le « nouveau mal du siècle ». Grâce à une prise de parole et une mise en lumière des différents troubles psychiques et psychologiques liés au monde du travail, le burn out est aujourd’hui reconnu et pris en charge. C’est en partie grâce au psychologue H. Freudenberger, qui réalise les premières études sur le burn out et publie, en 1980, un ouvrage nommé : « L’épuisement professionnel : la brûlure interne ». 

Au cœur du burn out, on trouve une surcharge de travail, mais pas que : la question de sens est également soulevée. Les personnes s’engageant dans un poste et ne trouvant plus de sens dans leur job ou dans leurs actions quotidiennes perdent alors l’envie de travailler, et se rendent chaque jour sur leur lieu de travail à reculons. Cela pourrait paraître anodin, mais à la longue, le cerveau finit par enregistrer ce malaise, et tire la sonnette d’alarme.

Quels sont les symptômes d’un burn out ? 

Les symptômes physiques

Une fois que le cerveau a fait son travail de « déclencheur », le corps va récupérer les signaux et les transformer en maux. Parmi les symptômes physiques les plus fréquents d’un burn out, on retrouve : 

  • Une sensation de fatigue inhabituelle et envahissante ;
  • Une perte d’appétit ;
  • Des troubles de l’endormissement et du sommeil ;
  • Des douleurs physiques (dos, cervicales, lombaires, etc.) ;
  • Des maux de ventre et/ou de tête ;
  • Des troubles digestifs ;

Et ceci n’est qu’une petite partie de la liste des symptômes physiques. S’accompagnent à ces troubles une humeur négative avec de l’agressivité, la procrastination ou encore une vision particulièrement négative de son travail. Les symptômes psychiques peuvent s’étendre jusqu’à un sentiment d’inutilité et une grande diminution de l’efficacité professionnelle. Cela n’a rien d’étonnant ; le cerveau et le corps travaillent de pair pour faire passer un message : il est grand temps d’arrêter de fermer les yeux. 

Les symptômes psychosomatiques

Peuvent s’ajouter à ces troubles physiques des symptômes psychosomatiques, le fruit d’une cohésion entre le cerveau et le corps pour ralentir la cadence : maux de dos, de ventre et de tête sont monnaie courante chez les personnes souffrant de burn out.

Psychiquement, certains signes sont extrêmement parlants : colère, réactions disproportionnées, anxiété généralisée, sentiment de tristesse, irritabilité ; la liste est encore longue. Peu importe le sexe, l’âge, ou encore la profession : contrairement à ce que l’on pourrait croire, le burn out ne touche pas que le secteur du médical comme les infirmiers ou les soignants. Le burn out ne fait pas de différence : il frappe, un point c’est tout.

Comment réagir face au burn out ?

1. Prendre conscience de la situation

Si vous êtes vous-mêmes en proie à un burn out, il est important de commencer par en prendre conscience. Le processus de guérison passe avant tout par l’acceptation : vous travaillez trop, votre job n’a plus de sens pour vous, vos valeurs sont piétinées par votre employeur ou le ratio contraintes / bénéfices est trop déséquilibré par exemple. Les raisons de faire un burn out sont multiples et propres à chacun.

2. Rencontrer un professionnel de santé

Si vous sentez une importante baisse de motivation, une grosse fatigue, que vous observez que votre mental produit des pensées dévalorisantes ou que vous souffrez de troubles physiques ou psychiques, vous pouvez vous orienter vers un professionnel de santé qui saura détecter le burn out. Si vous laissez traîner la situation, vos symptômes pourraient prendre de plus en plus d’ampleur : vous ne devez pas négliger votre santé mentale, au même titre que votre santé physique. 

3. Entamer une démarche de soin

Vous pouvez prendre rendez-vous avec un psychologue ou un psychothérapeute, sur les conseils de votre médecin ou simplement si vous en ressentez le besoin. Entamer une démarche de soin vous permettra d’enclencher le processus de guérison, et de prendre (enfin) soin de vous.

Comment guérir d’un burn out ?

La guérison d’un épuisement professionnel est un développement progressif qui ne peut être quantifié ni mesuré : elle est propre à chacun et va dépendre des choses que vous mettez en place pour aller mieux. Il n’y a pas de recette miracle : chaque personne qui souffre du burn out va gérer d’une façon différente son rétablissement. Une chose est certaine, en revanche : vous ne devez pas avoir honte de faire un burn out. Dans notre société où l’efficacité et la productivité sont adulées, on passe bien trop souvent à côté du selfcare. Pourtant, prendre soin de soi est la meilleure chose que vous puissiez faire : en vous priorisant, vous remettrez au centre de votre vie vos valeurs et tout ce qui constitue votre bien-être, que ce soit sur le plan mental ou physique.

Lire l’article “5 clés pour booster son énergie”

Faire le point sur votre situation professionnelle est bénéfique en cas de burn out : faites une liste de tous les éléments qui vous pèsent ou ne vous correspondent plus. Est-ce que ce sont des choses sur lesquelles vous pouvez avoir le contrôle, par exemple réduire votre nombre d’heures de travail ou alléger vos tâches ? Si vous avez la main sur votre emploi du temps, vous pouvez instaurer des temps de repos ou bien participer à une activité en dehors de votre travail qui vous ferait du bien. En revanche, si la situation est plus grave et que vous n’avez pas de prise dessus, il peut être bon d’envisager un nouveau projet professionnel !

Lire l’article “Comment trouver son équilibre de vie ?”

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5 clés pour gérer le stress https://www.uraise.pro/gerer-le-stress/ Sun, 12 Mar 2023 05:30:00 +0000 https://www.uraise.pro/?p=2618 Ah, le stress… Le mal du siècle, comme certains l’appellent, est un ensemble de symptômes qui viennent semer la zizanie dans notre esprit et notre corps. Il s’agit en réalité d’une réaction naturelle produite par notre cerveau pour nous aider à agir face à une situation. Toutefois, le stress est de plus en plus présent ... Lire la suite

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Ah, le stress… Le mal du siècle, comme certains l’appellent, est un ensemble de symptômes qui viennent semer la zizanie dans notre esprit et notre corps. Il s’agit en réalité d’une réaction naturelle produite par notre cerveau pour nous aider à agir face à une situation. Toutefois, le stress est de plus en plus présent dans nos quotidiens et peut se transformer en pathologie. Tant sur le plan physique que physiologique, le stress peut avoir des conséquences néfastes sur notre organisme. Alors, comment gérer le stress au quotidien ? Quels outils utiliser pour canaliser son stress et atteindre un bon niveau de relaxation ?

1. Reconnaître les symptômes du stress

Avant de mettre en place des astuces pour gérer le stress au quotidien, il est important d’apprendre à le reconnaître. Un certain nombre de symptômes physiques font leur apparition en même temps qu’une montée de stress : 

  • Accélération du rythme cardiaque ;
  • Contraction des muscles ;
  • Manque de concentration ;
  • Troubles digestifs ;
  • Augmentation de la pression artérielle ;
  • Troubles du sommeils ;

Ces symptômes font partie de la longue liste de ce que provoque le stress dans notre corps. Face à une agression (ou ce que le cerveau perçoit comme tel), l’organisme va se mettre en phase d’alarme et ainsi sécréter de l’adrénaline, pour répondre rapidement à la situation. C’est ce que Hans Selye, médecin québécois spécialisé dans la recherche sur le stress, a qualifié de Syndrome Général d’Adaptation. Ce même médecin a défini le stress en tant que phénomène non-spécifique, avec un impact sur notre santé. Selon lui, après la phase d’alarme, le corps entre en résistance, puis en phase d’épuisement. 

C’est pour cela qu’après une vague de stress nous pouvons nous sentir fatigués, tristes ou encore démoralisés. Face à une exposition prolongée au stress, notre corps résiste de moins en moins efficacement : cela va même jusqu’à provoquer une déficience au niveau de notre système immunitaire. Pour toutes ces raisons, il est nécessaire de traiter le stress, qu’il soit chronique ou non, dans notre quotidien.

2. Gérer son stress dans la vie quotidienne

Après avoir identifié les moments de votre journée où vous êtes susceptibles de vivre une situation de stress, vous allez pouvoir mettre en place des choses concrètes pour soulager votre esprit et ainsi revenir au calme. Tout au long de votre vie, vous serez sûrement amené à vivre des situations stressantes, et cela est parfaitement normal. L’important est de pouvoir vous soulager au quotidien, et parvenir à « hacker » votre cerveau pour lui faire comprendre que vous êtes en sécurité.

L’organisation est généralement une grande source de stress dans la vie quotidienne. Votre charge mentale est en mauvaise posture ? Vous pouvez instaurer des actions pratiques pour diminuer l’impact du stress et remettre de l’ordre dans vos journées. Les to-do lists, plannings et autres actions organisationnelles sont extrêmement efficaces pour cadrer le quotidien.

N’hésitez pas à lire notre article 10 outils pratiques d’organisation

La pratique d’une activité physique est également profitable : lorsque vous mettez votre corps en mouvement, le cerveau va se focaliser sur l’action en cours. C’est ce que l’on appelle « être dans l’instant présent », car à ce moment précis, rien d’autre ne compte en dehors de votre corps et de ses efforts. La production d’endorphines à la fin de la séance, accompagnée par l’adrénaline, aura des conséquences très bénéfiques sur votre corps.

3. Prendre soin de sa santé mentale 

Que ce soit un excès d’écrans, un temps de connexion prolongé sur les réseaux sociaux ou une exposition aux nuisances sonores, tous ces éléments peuvent impacter votre taux de stress dans le corps. En effet, ils apportent avec eux leur lot de cortisol, qui est l’hormone du stress, produite à partir du cholestérol. Pour prendre soin de votre santé mentale, cela passe aussi par l’alimentation : le sucre, les produits considérés comme « excitants » comme la caféine, le tabac ou encore l’alcool ont un impact direct sur le niveau de stress dans le corps.

Pour baisser le taux de cortisol, vous pouvez vous initier à une pratique sportive douce comme le yoga, essayer la méditation ou encore simplement la marche à pied. De la musique douce et un bon rythme de sommeil seront efficaces pour garder votre santé mentale en bonne posture ! La lecture est également un remède imparable pour faire descendre le cortisol et apaiser l’esprit : les livres regorgent de trésors qui favorisent le repos et un retour au calme imminent.

4. Gérer son stress sur son lieu de travail 

Si vous rencontrez des difficultés à gérer votre stress sur votre lieu de travail, il est nécessaire de vous poser plusieurs questions : est-ce l’environnement qui vous perturbe ? Avez-vous un bon rapport avec vos collègues et vos supérieurs ? Est-ce que votre lieu de travail est adapté à vos besoins ?  Des aménagements peuvent être mis en place et des solutions peuvent être trouvées, mais pour cela il est primordial d’exprimer votre malaise auprès de votre hiérarchie. 

Sur votre temps de pause, vous pouvez pratiquer des techniques de respiration ou encore un petit temps de méditation pour vous aider à retrouver votre calme intérieur. Si vous avez un moment de pause plus long, allez marcher ou pratiquez une activité physique afin de libérer les tensions accumulées dans votre corps. 

5. Appréhender les situations stressantes

Afin de vous préparer au mieux aux situations de stress, différentes techniques sont envisageables. La respiration est un allié naturel très efficace, que vous pouvez actionner à tout moment. Des méthodes de respiration en conscience sont disponibles sur Internet, vous pouvez même télécharger des applications pour vous aider à conscientiser et ancrer cette habitude dans votre journée. La cohérence cardiaque est un exercice facilement praticable, plusieurs fois par jour, et qui aura des effets positifs sur votre cortisol et une large palette d’autres facteurs de stress.

Enfin, si vous en ressentez le besoin et que vous en avez les moyens, vous pouvez vous faire accompagner par un professionnel de santé : médecin, thérapeute, sophrologue, coach… Trouver la personne adaptée et entamer une vraie démarche thérapeutique peut être vraiment salutaire pour votre santé, et cela vous aidera considérablement à gérer votre stress dans la vie quotidienne, autant sur le plan personnel que professionnel. 

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Comment trouver son équilibre de vie ? https://www.uraise.pro/comment-trouver-son-equilibre-de-vie/ Mon, 06 Mar 2023 05:30:00 +0000 https://www.uraise.pro/?p=2452 Alors que nous sommes de plus en sollicités dans un quotidien au rythme effréné, trouver son équilibre de vie est un véritable challenge que nous vous aidons à relever !

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Trouver son équilibre de vie, mode d’emploi

Trouver son équilibre de vie passe par le fait d’équilibrer ses différents domaines de vie. Cela permet de profiter de sa famille, de son entourage, de son couple ou encore de son travail plus sereinement. Cela joue également sur la confiance en soi, le sentiment de compétence et la sensation de maîtriser sa vie. Les relations interpersonnelles n’en sont que meilleures, et la croissance personnelle se fait plus aisément.

Qu’est-ce que l’équilibre de vie ?

L’équilibre de vie est comme une roue, avec 5 parties distinctes. Ces 5 domaines se côtoient et parfois se chevauchent : le tout étant de parvenir à un équilibre entre ces parties, pour établir une stabilité sur le long terme. L’équilibre de vie est un ajustement entre ces différentes sphères pour parvenir à insuffler de l’énergie dans chacune de ces parties, en fonction de ses envies et besoins sur un moment précis. En alignant cette énergie dans tous les domaines, de façon consciente et régulière, vous parviendrez à identifier vos besoins, vos valeurs, et résoudre plus facilement les problèmes.

Lire l’article 5 clés pour booster son énergie

Les différents domaines de vie

Lorsqu’on parle d’équilibre de vie, on compte 5 domaines de vie distincts : 

  • Familial (les relations parents-enfants, frères, sœurs, famille dans sa globalité)
  • Social (les relations amicales et activités sociales)
  • Professionnel (dédié au travail)
  • Couple (relations amoureuses)
  • Personnel (l’activité physique, le sommeil, les loisirs, les moments pour soi)

Équilibrer ses domaines de vie, c’est laisser de la place pour chacune de ces sphères, sans que l’une empiète sur les autres. À certains moments de votre vie, vous serez peut-être amené à travailler plus, ou bien à vous focaliser sur votre famille avec l’arrivée d’un enfant. L’important est de pouvoir réinjecter du temps dans chacun de ces domaines, pour que sur le long terme la balance soit équitable. 

Accepter que la vie nécessite parfois des ajustements dans votre quotidien est une chose primordiale : même si vous consacrez plusieurs mois de votre vie à un domaine en particulier, cela ne signifie pas que votre équilibre est menacé. En revanche, si cela perdure, il faudra vous poser les bonnes questions et réussir à mettre en place des mécanismes pour retrouver l’harmonie dans ces 5 domaines.

Vie professionnelle et vie personnelle, l’art de trouver son équilibre de vie

Mettre en place une balance entre vie professionnelle et vie personnelle

Les sollicitations venant de notre travail sont nombreuses, et le cloisonnement entre les deux sphères est parfois délicat. Vous répondez à un mail professionnel lorsque vous êtes à la maison, et organisez mentalement votre prochain week-end en famille lorsque vous êtes au bureau. Si vous avez tendance à ramener du travail à la maison ou répondez au téléphone le soir pour régler un souci lié à votre emploi, il est fort probable que la frontière entre votre vie professionnelle et votre vie personnelle soit des plus fines. Mais les préoccupations liées au travail ne restent pas à la porte du bureau, et généralement il existe un continuum au niveau des pensées professionnelles qui nous suivent jusque dans notre sphère privée

Pour trouver un équilibre entre votre domaine professionnel et vos domaines personnels, vous pouvez mettre en place des règles, modulables en fonction de vos besoins. Ne pas ramener de dossier à la maison, ne pas répondre par téléphone à votre belle-mère sur votre temps de travail… Tout dépend des circonstances et des priorités à un moment précis de votre vie. Le cloisonnement n’est pas immuable, et vous pouvez effectuer des ajustements en fonction de vos besoins. L’essentiel est de garder à l’esprit votre système de valeurs et ce que vous souhaitez prioriser à l’instant T.

Lisez nos astuces de productivité pour vous dégager du temps personnel et alléger votre charge mentale !

Avoir une vie sociale en bonne santé

Les différents éléments de votre écosystème (famille, amis, relations interpersonnelles) sont autant de pierres angulaires pour équilibrer votre vie. Si « l’homme est un animal social » comme le décrivait Aristote, il a besoin de la communauté pour se développer. À la manière des abeilles, nous avons un besoin viscéral de nous construire un essaim pour évoluer. Nos pairs, que ce soit familiaux ou amicaux, sont des ancrages qui nous permettent de construire notre vie et ont un effet non négligeable sur notre bonheur. 

Avoir une vie sociale en bonne santé permet d’accroître notre qualité de vie. En développant nos relations interpersonnelles, nous prenons soin de notre santé mentale. L’isolement, sur du long terme, a un impact négatif sur notre bien-être mental. De plus, la sociabilisation aiderait à renforcer notre système immunitaire : en effet, en ayant des rapports de qualité avec ceux qui nous entourent, les hormones de stress se font plus rares et ainsi, nous sommes plus enclins à conserver un état d’esprit positif. Être en contact avec sa famille et ses amis permet d’entretenir nos capacités cognitives et prévenir des maladies neurodégénératives comme Alzheimer. 

Pourquoi est-il important de trouver son équilibre de vie ?

Prendre soin de sa santé mentale

Être en bonne santé mentale signifie avoir trouvé un état de bien-être au niveau psychique et une balance au niveau émotionnel et cognitif. Pour entretenir sa santé mentale, équilibrer ses domaines de vie est crucial. En développant des objectifs concrets qui vous permettent d’accorder de l’importance et de l’énergie dans chacun des 5 domaines de vie, vous parviendrez à trouver un mode de vie plus aligné avec vos valeurs. Définir ses priorités est également primordial : de quoi avez-vous réellement besoin en ce moment ? Revenir à cette question lorsque vous rencontrez un problème peut être une astuce pour vous recentrer sur ce qui importe le plus pour vous, dans votre quotidien. Des exercices comme la méditation ou la pratique du yoga sont de bons éléments pour entretenir sa santé mentale : créer de l’espace et s’ancrer dans le moment présent peuvent vous aider à équilibrer votre vie. 

Prendre soin de sa santé physique

Entretenir sa santé physique et prendre soin de son corps, en complément d’une bonne santé mentale, peut largement faire la différence au niveau de l’hygiène de vie. En pratiquant une activité physique régulière, vous contribuez à la balance émotionnelle, améliorez votre qualité de vie, et ainsi votre perception de vous-même. Réduction du niveau de stress, production de dopamine et d’endorphine ou encore amélioration du sommeil : en mettant votre corps en mouvement, vous permettez à votre esprit de respirer et ainsi de prendre des décisions de façon claire et consciente. 

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5 techniques pour gérer les conflits https://www.uraise.pro/techniques-pour-gerer-les-conflits/ Sun, 05 Mar 2023 05:30:00 +0000 https://www.uraise.pro/?p=2557 Vous faites face à un conflit au travail et ne savez pas comment désamorcer la situation ? Suivez nos 5 techniques pour désamorcer le conflit

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Vous faites face à des conflits au travail et ne savez pas comment désamorcer la situation ? Vous vivez un conflit interne et ne parvenez pas à sortir la tête de l’eau ? Camper sur ses positions et foncer tête baissée est tentant, mais ne fera qu’augmenter les tensions. Nous vous offrons quelques solutions pour retrouver la paix et actionner les bons outils, au bon moment. 

Comprendre l’origine du conflit

Que ce soit sur votre lieu de travail ou au sein de votre foyer, les conflits peuvent se présenter et perturber votre équilibre. Pour apaiser un conflit, il est primordial de commencer par une première étape : comprendre l’origine du conflit. D’où proviennent ces tensions ? Quel a été l’élément déclencheur ? Trouver la source du problème vous permettra ensuite de prendre du recul sur la situation et de mieux comprendre comment vous en êtes arrivés là. Ainsi, vous pourrez mettre en place une méthode et poser des actions qui pourront vous extraire de cette position inconfortable.

Les différents styles de gestion de conflits

On distingue 5 styles de gestion des conflits : combatif, évitement, accommodant, collaboratif et compromettant.

  • Le combatif ou « style bélier » : il campe sur ses positions et fera son maximum pour défendre son point de vue, quitte à écraser celui des autres. Sur le long terme, ce genre de comportements peut endommager vos relations avec vos collègues ou votre entourage. Si vous ne leur laissez pas la place de s’exprimer, ils se sentiront de moins en moins en confiance.
  • L’évitement, ou « style tortue » : se cacher dans sa carapace, pour soigneusement éviter les conflits et attendre que l’orage passe. 
  • L’accommodant, ou « style nounours » : l’opinion des autres est plus importante que la sienne, il s’adapte et suit l’opinion publique pour ne pas faire de vagues. 
  • Le collaboratif, « style chouette » : essaie de trouver une solution qui convienne à tous les partis. Il faut que tout le monde ressorte de ce conflit gagnant-gagnant.
  • Pour finir, ou « style renard » : il cherche un compromis pour débloquer rapidement la situation et satisfaire les deux personnes en conflit. 

Apprendre à communiquer

La communication non-violente

La communication non-violente et l’écoute active sont deux des outils les plus précieux pour la gestion de conflits. Apprendre à écouter, être disponible pour l’autre sans rester bloqué par sa propre opinion. Entendre l’autre permet d’être dans l’empathie, et de comprendre son point de vue. La communication non-violente est une technique qui consiste à communiquer avec respect, empathie et compassion : ces notions permettent d’apaiser les tensions entre collègues ou membres du foyer. 

Le “tu, tue”

De la même façon, employer le “tu” pour décrire la situation est souvent synonyme de rejet de la faute sur l’interlocuteur : il vaut mieux privilégier le “je”, en décrivant la façon dont vous avez vécu la situation, votre vision du problème, etc. Cela permet de ne pas accuser son interlocuteur et de l’inviter à exprimer sa propre version des faits. Reporter la discussion pour laisser à tout le monde le temps de souffler peut être une bonne solution.

Si vous êtes manager et assistez à un conflit entre salariés, ne demandez surtout pas à vos collaborateurs de se calmer : ça risquerait d’envenimer encore plus la situation. Pratiquez l’écoute active et demandez à tous les participants d’exposer leur point de vue, cela leur permettra de se mettre à la place des uns et des autres, et de comprendre les différents points de vue. Faites de même pour votre interlocuteur si c’est vous qui êtes au centre du conflit, sans imposer vos idées : en étant ouvert, vous parviendrez plus aisément à trouver une solution qui conviendra à tout le monde.

Travailler sur soi

« Sois le changement que tu veux voir dans ce monde » comme le disait Gandhi. Le but n’est pas de rejeter la faute sur les autres en pensant que, de notre côté, tout va bien. En travaillant sur vous-mêmes, vous apprendrez à gérer vos émotions, comprendre votre perception d’une situation et l’impact que certaines paroles peuvent avoir sur votre mental. Pendant la dispute, vous avez peut-être le sentiment d’être dans une impasse, et c’est bien normal. Lorsqu’un conflit éclate, votre cerveau se met en mode défensif et engage des ressources émotionnelles et cognitives qui vous conduisent à une chose : rester camper sur vos positions. Vous vous fermez sur vous-mêmes et souhaitez à tout prix exposer votre point de vue, quitte à écraser celui des autres (le fameux style bélier).

Cette façon de fonctionner est normale, et commune à la plupart des êtres humains. Cependant, ce n’est pas grâce à elle que vous allez faire décanter la situation… En travaillant sur vos points faibles et votre estime de soi, vous parviendrez bien plus aisément à laisser de la place aux autres, et ainsi apaiser les tensions au travail ou avec votre entourage.

Gérer ses conflits internes

Parce que parfois, la personne avec qui on a le plus de difficultés à communiquer : c’est nous-mêmes.  Appelé aussi conflit psychique, le conflit interne est un épisode douloureux où le cerveau tourne en boucle, et où l’on peut avoir l’impression que plusieurs personnes se disputent là-haut. Pour commencer, vous pouvez à l’aide d’un coach ou d’une personne qualifiée repérer vos points faibles et vos sources de tracas. À quel moment vous sentez-vous basculer dans un discours interne ? Quelles sont les situations qui vous mettent en difficulté ? Vos mécanismes de refoulement vous conduisent peut-être à intérioriser ce qui vous bloque et dissimulent vos ennuis sous une épaisse carapace. En parler avec une personne extérieure vous aidera à sortir de la spirale infernale des ruminations et vous permettra de trouver des pistes pour vous apaiser.

Se former à la gestion de conflits

De nombreuses formations existent pour vous apporter tous les outils dont vous aurez besoin, en tant que manager ou responsable, pour la gestion de crise et de conflits en entreprise. De la communication constructive à l’écoute active, vous apprendrez les différentes techniques de résolution des problèmes et découvrirez toutes les méthodes pour gérer un conflit entre collègues. Ces soft skills vous seront très précieux, et ce même dans votre vie de tous les jours ! Vous pourrez ainsi communiquer de façon plus consciencieuse, en prenant en compte les ressentis de votre interlocuteur et en identifiant rapidement l’origine du problème.

Nos relations avec les autres sont un puissant moteur de succès et de qualité de vie ! Lisez notre article sur les 11 secrets tirés du best-seller de Dale Carnegie “Comment se faire des amis”.

La gestion de conflit, une compétence managériale recherchée

Si vous êtes manager, ces compétences seront d’une grande aide pour votre leadership dans la gestion de votre équipe. En effet, instaurer un climat de travail sain et qui prend en compte les personnalités et besoins de chacun des membres de votre équipe, c’est donner toutes ses chances à votre management de prospérer dans les meilleures conditions. 

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5 clés pour booster son niveau d’énergie https://www.uraise.pro/booster-son-niveau-d-energie/ Fri, 03 Mar 2023 05:30:00 +0000 https://www.uraise.pro/?p=2570 Fatigue, manque d'énergie... Vos batteries sont à plat ? Suivez nos conseils pour booster votre niveau d'énergie rapidement !

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Que faites-vous, lorsque vos batteries sont à plat ? Pour « reprendre du poil de la bête », plusieurs techniques peuvent être mises en place. Méditation, alimentation consciente, shinrin yoku… Si tous ces termes vous sont étrangers, laissez-nous vous expliquer leurs bienfaits ! À travers des conseils pratiques et des techniques naturelles, nous vous partageons la recette d’une hygiène de vie saine et pérenne qui vous permettra de booster votre niveau d’énergie !

1. Alimentation et hydratation : le couple idéal

Pour faire un premier état des lieux de votre taux d’énergie actuelle, il est important de détecter les failles éventuelles au niveau de votre alimentation. Sucres raffinés, aliments transformés, graisses saturées : tout ce que vous ingérez aura un rôle à jouer sur votre niveau de vitalité. Pour cela, il est primordial de mettre en place des habitudes saines : en consommant des aliments complets, des végétaux, et en s’alimentant en conscience. Comme l’explique Giulia Enders dans « Le charme discret de l’intestin », notre intestin est « le cerveau d’en bas ». Pour mettre toutes les chances du côté de votre énergie, il est nécessaire de répondre aux besoins physiologiques de votre corps et de réfléchir à une alimentation utile.  

Tout comme l’alimentation, l’hydratation est un besoin vital. Si vous vous sentez particulièrement fatigué en ce moment, il serait bon de faire un tour du côté de l’hydratation. Toxines stockées dans le corps, organes qui suffoquent, consommation excessive de café, thé ou soda ? Posez une gourde d’eau sur votre bureau pour surveiller votre consommation d’eau, elle doit atteindre 2 litres par jour minimum. Vous pouvez également installer une application de rappel pour penser à vous hydrater, comme Water Time ou Plant Nanny. Si vous sentez que vous avez soif, c’est que vous êtes déjà déshydratés : boire tout au long de la journée vous permettra de garder votre corps en bonne santé et d’avoir un bon niveau d’énergie.

2. Le sommeil : le Graal de l’énergie

Le sommeil entretient une relation étroite avec l’alimentation : plus cette dernière est saine, plus votre qualité de sommeil sera optimale. Mais l’alimentation ne fait pas tout pour avoir un bon rythme de sommeil. Le temps que vous passez sur votre portable avant de dormir peut avoir un réel impact sur votre qualité de sommeil. Si vous êtes de nature anxieuse ou stressée, il serait intéressant de pratiquer une  activité physique dans la journée, ou une pratique méditative le soir pour faire baisser le taux de cortisol, qui est l’hormone du stress.Si vous êtes adepte de la naturopathie, vous pouvez ajouter sur votre oreiller quelques gouttes d’huile essentielle de lavande (Lavandula angustifolia) pour vous aider à vous relaxer avant de dormir.

Lire l’article 7 conseils pour améliorer la qualité de son sommeil

3. Les pratiques de relaxation

Se relaxer pour gagner en énergie n’est pas un oxymore. Se mettre en mouvement va vous permettre à la fois de créer de l’énergie et également d’évacuer les tensions en douceur. Méditation, pleine conscience, yoga : toutes ces techniques ont pour but de faire de la place dans votre corps et votre esprit, pour libérer les énergies négatives et laisser place à un courant vital plus riche et plus sain. 

Grâce à ces méthodes de relaxation, vous verrez également une influence sur votre digestion, qui peut être perturbée sur vous vous sentez fatigué ou en proie au stress. Le Qi Gong, gymnastique traditionnelle Chinoise, est une pratique qui dynamise en douceur grâce à un travail sur la respiration. Des exercices comme la cohérence cardiaque vous permettront également de booster naturellement votre énergie en peu de temps, à condition de faire preuve de rigueur dans la pratique. 

Pour une action énergisante au niveau du corps, vous pouvez aussi tester le brossage à sec, qui consiste à frictionner votre peau avec une petite brosse. Les mouvements rotatifs activent la lymphe et favorisent la circulation du sang : un rituel à mettre en place 2 à 3 fois par semaine pour une vitalité retrouvée.

4. Activité physique et posture au travail

Lorsque l’on parle d’activité physique, on a tendance à immédiatement penser à du sport. En réalité, vous n’êtes pas obligés de courir un marathon pour être en bonne forme physiquement ! Une mise en mouvement régulière, surtout si votre travail vous pousse à être sédentaire, est nécessaire. Mais pour cela, rien ne sert de passer 2 heures par jour à la salle de sport (sauf si c’est ce qui vous passionne, bien entendu) : bouger toutes les heures préserve des risques liés à la sédentarité. 

Votre posture a également une influence sur vos émotions : on parle alors de physiologie, en particulier au travail. Si vous êtes avachi sur votre bureau, le visage fermé et le dos courbé, il y a de grandes chances que votre niveau d’énergie soit bas. En revanche, si vous optez pour une posture droite, les épaules dégagées et un bon port de tête, vous ressentirez un regain d’énergie. Votre posture corporelle joue également sur votre confiance en vous, et sur l’image que vous renvoyez à votre entourage. Un bon maintien du corps vous permettra de gagner en confiance et également en tonicité. 

5. Shinrin Yoku : les trésors de la Nature

Un bon exemple d’activité physique : la marche. Lorsqu’elle se fait en forêt, dans le calme et la pleine conscience, on appelle ça : shinrin yoku. En 1980, le gouvernement japonais propose à sa population de prendre des « bains de forêt » pour préserver son bien-être physique et sa santé mentale. Littéralement, ce terme signifie « prendre l’atmosphère de la Forêt ». Avec des actions concrètes sur le rythme cardiaque, la baisse de la pression artérielle ou encore le niveau de stress, le shinrin yoku est devenu un véritable art de vivre au Japon. En Europe, de plus en plus d’ateliers sont mis en place pour se rapprocher de cet état d’esprit : marches nordiques en forêt, sylvothérapie ou encore parcours de santé au milieu des bois, tout est bon à prendre lorsqu’il s’agit de recharger naturellement ses batteries !

Si vous habitez dans une grande ville, un tour dans un parc en début de journée vous permettra de vous aérer, loin de la pollution sonore et olfactive.

Et si vous vous demandez où trouver du temps pour appliquer ces conseils, lisez notre article 6 astuces pour trouver du temps pour soi 😉

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7 conseils pour améliorer la qualité de son sommeil https://www.uraise.pro/conseils-pour-ameliorer-la-qualite-de-son-sommeil/ Wed, 01 Mar 2023 05:30:00 +0000 https://www.uraise.pro/?p=2458 Vous carburez au café, votre moral est en berne et vos nerfs à fleurs de peau ? On néglige souvent son sommeil, jusqu'à ce que cela devienne problématique... Suivez nos 7 conseils pour améliorer la qualité de votre sommeil rapidement !

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On néglige bien trop souvent l’importance du sommeil, jusqu’à ce que cela devienne problématique : les
nuits blanches se font suite, les tasses de café s’entassent sur le coin du bureau, les nerfs sont à fleur de
peau… Et c’est là que le déclic intervient : il est grand temps de prendre soin de soi et d’améliorer la qualité de son sommeil ! Pour casser le cercle vicieux de la fatigue et mettre en place des habitudes saines et efficientes, nous vous proposons 7 conseils pour améliorer la qualité de votre sommeil, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

1. Bien s’alimenter pour mieux dormir

L’alimentation est en relation directe avec la qualité du sommeil. En effet, selon l’INSV (Institut National du Sommeil et de la Vigilance), nous avons besoin de nous alimenter pour produire des éléments nécessaires au sommeil et que le corps ne sait pas produire de façon autonome, comme le tryptophane qui permet la fabrication de la sérotonine.  Par ailleurs, la sérotonine est responsable de la sécrétion de mélatonine, l’hormone du sommeil, elle est donc indispensable pour une bonne nuit de sommeil.

Le gras, le sucre raffiné et les excitants comme l’alcool, la nicotine ou la caféine sont pour ainsi dire les ennemis jurés du sommeil : véritables perturbateurs, ils retardent l’endormissement et sont associés au niveau élevé de cortisol, l’hormone du stress. Pour obtenir un sommeil profond et qui ne sera pas saccadé, la consommation de féculents et d’aliments complets est conseillée.

2. Pratiquer une activité physique pour libérer les toxines

La pratique d’une activité physique à un rythme régulier a de nombreux effets positifs sur notre santé, notamment pour améliorer la qualité de son sommeil. Lors de l’exercice physique, le corps va produire de l’endorphine, substance responsable d’une profonde sensation de bien-être. Ainsi le stress est relayé au second plan, permettant à notre cerveau de se reposer. Pratiquer une activité physique permet également de stimuler la circulation de la lymphe et par conséquent, de contribuer à une détoxification naturelle du corps. La circulation sanguine est relancée, la lymphe boostée, les déchets éliminés, et le corps reposé !

Vous n’arrivez pas à trouver du temps pour pratiquer une activité physique ? Lisez notre article 6 astuces pour trouver du temps pour soi

3. Se dégager de l’espace mental

Votre esprit est bloqué sur la liste de choses à faire demain et vous tournez en rond dans votre lit à la recherche du sommeil ? Optez pour un réflexe simple, mais très efficace : le bloc-notes sur votre table de chevet. De cette manière, dès que vous serez submergé par un flot d’idées et de pensées qui tournent en boucle, notez-les : elles quitteront votre esprit pour rester sagement sur le papier. Cette technique permet de se libérer au niveau de la charge mentale et de grandement améliorer la qualité de son sommeil.

Pour apaiser votre charge mentale, lisez notre article 10 outils pratiques d’organisation

4. Couper les écrans et déconnecter

Pour un sommeil complet et réparateur, il faut compter entre 6 et 9 heures par nuit, en fonction de vos besoins, de votre âge et de votre taux d’activité physique. Pour obtenir un quota de sommeil de qualité, déconnecter et couper les écrans le soir est primordial. La lumière bleue émise par les écrans va suspendre la production de mélatonine : par conséquent, le marchand de sable est bloqué au niveau des portes digitales. 

Les personnes sensibles peuvent rencontrer des troubles du sommeil à cause des nombreuses ondes émises par les appareils connectés. Surfer sur les réseaux sociaux avant de dormir n’est pas non plus une bonne idée : générateurs d’émotions, ces plateformes stimulent votre cerveau. Alors avant de vous coucher, prenez le pli de mettre votre téléphone en mode avion, de préférence 2 heures avant l’heure à laquelle vous souhaitez vous endormir. Vous pouvez également couper votre box WIFI, cela économisera de l’électricité et permettra à votre cerveau de se reposer, loin des ondes. 

5. Aller consulter en cas d’insomnies chroniques

Tout ne peut pas se résoudre en un claquement de doigts : si vous rencontrez des soucis d’insomnie de manière régulière, il est crucial d’aller consulter un spécialiste. Cela peut découler d’un problème de thyroïde, d’une carence en magnésium ou encore d’apnées du sommeil. La mise en place d’un traitement ou bien d’un appareillage pour la nuit sera alors nécessaire pour retrouver un sommeil de qualité. 

En France, 1 personne sur 5 est touchée par ces troubles du sommeil. Si vous rencontrez des insomnies plusieurs fois par semaine sur une durée minimale de 3 mois, vous souffrez probablement d’insomnies chroniques. Votre médecin vous orientera vers le professionnel de santé le plus adapté (cardiologue, pneumologue, psychologue) en fonction de vos soucis. 

6. Se fier à son rythme circadien

Le rythme circadien, horloge biologique interne située au niveau de l’hypothalamus, contrôle les variations cycliques (capacités cognitives, humeur, température corporelle, digestion, etc.) et est responsable de la production de mélatonine. De ce fait, vivre en harmonie avec son rythme circadien est fortement conseillé. Pour fonctionner correctement, l’organisme a besoin d’une routine, et le corps demande une synchronisation entre le jour et la nuit. Les phases de réveil et d’endormissement doivent donc se faire dans le cadre d’une routine, afin de ne pas perturber notre si précieux rythme de sommeil

7. La lecture, berceuse universelle

Pour remplacer les écrans avant de dormir, opter pour un livre est toujours une bonne alternative. Surtout lorsqu’il s’agit d’un long ouvrage de Proust : endormissement garanti ! Plus sérieusement, la lecture, puissant antistress, a de nombreux bénéfices sur la qualité de notre sommeil. Loin de dérégler notre horloge biologique, instaurer un moment de lecture chaque soir permettra à votre cerveau d’enregistrer qu’il est bientôt l’heure de rejoindre Morphée. 

Les podcasts ou méditations guidées peuvent être de très bons alliés : en faisant appel aux oreilles plutôt qu’aux yeux, ces programmes permettent au cerveau de se concentrer sur la voix et éloigner les ruminations et pensées répétitives. En utilisant l’audition, les yeux peuvent alors se reposer et vous instaurerez un climat de calme et de confiance dans votre chambre. Des techniques comme le scan corporel ou le nettoyage émotionnel sont très efficaces pour s’endormir profondément et sereinement. 

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6 astuces pour trouver du temps pour soi https://www.uraise.pro/astuces-pour-trouver-du-temps-pour-soi/ Tue, 28 Feb 2023 15:06:37 +0000 https://www.uraise.pro/?p=2463 Dans une société où nous vivons à mille à l'heure, trouver du temps pour soi peut être un challenge. Voici nos astuces pour y arriver !

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Dans une société où la course contre la montre débute dès que l’on pose le premier pied dans le monde du travail, trouver du temps pour soi est une véritable préoccupation. Entraînés dans le tourbillon de la vie, nous avons parfois bien du mal à nous octroyer un instant pour souffler, en dehors du vacarme du quotidien. Productivité abusive, surmenage et perfectionnisme sont les bêtes noires modernes, et réussir à s’en détacher relève de l’exploit. Prendre du temps pour soi, loin d’être égoïste, est tout à fait salvateur. 

Alors comment trouver du temps pour soi, et optimiser cette ressource si précieuse ?

Devenez votre propre rendez-vous

Se faire passer en priorité peut relever du défi, dans notre société actuelle. À tort perçu comme de l’égoïsme, s’établir au premier plan de sa vie est en réalité un comportement sain et révélateur d’une bonne qualité de vie. Pour y parvenir, vous pouvez dès à présent vous poser cette question « De quoi ai-je besoin aujourd’hui ? ». Si la réponse est d’annuler le dîner prévu avec vos amis pour regarder un film en mangeant de la glace sur le canapé, alors vous devriez vous octroyer ce droit. 

Vous êtes la seule personne à savoir intimement de quoi vous avez le plus besoin : vous placer au centre de votre vie vous permettra d’agir davantage en conscience et de vous épanouir sereinement. Cela ne fera pas de vous quelqu’un d’égoïste, bien au contraire : c’est en se faisant passer en premier que l’on peut ensuite être véritablement présent pour les autres. Alors, devenez votre propre rendez-vous : inscrivez-le dans votre agenda, à un rythme régulier ! Comme ça, vous n’aurez plus d’excuse pour passer à côté de ce moment d’entre soi.

Évaluer ses priorités

Pour vous aider à déterminer vos priorités, vous pouvez répondre à ces 3 questions :

  • 1. Quelles sont les raisons qui vous poussent à prendre du temps pour vous ? 
  • 2. Qu’est-ce qui vous bloque actuellement dans votre quotidien ?
  • 3. Si vous aviez du temps pour vous, comment aimeriez-vous l’exploiter ?

Ces interrogations vous guideront vers une introspection un peu plus poussée, et vous amèneront à évaluer vos priorités pour être davantage aligné avec votre mode de vie. Trouver du temps pour soi quand on est parent ou dans un couple peut s’avérer être délicat. En vous posant les bonnes questions et en travaillant sur l’ordre de vos priorités, vous parviendrez à trouver du temps de qualité non seulement pour vous, mais également pour vos proches. Cela rejoint le principe du système de valeurs, qui permet de déterminer ce qui nous guide au quotidien.

Faire la distinction entre vie professionnelle et vie personnelle 

Séparer vie professionnelle et vie personnelle est fondamental pour ne pas se laisser engloutir par l’un ou l’autre de ces domaines. Toutefois, la vision n’est pas aussi binaire ; on compte en réalité 5 domaines de vie : 

  • 1. La sphère familiale
  • 2. Le couple
  • 3. La sphère sociale
  • 4. Le professionnel
  • 5. Le personnel 

Équilibrer ses domaines de vie revient alors à trouver une organisation efficace pour allouer du temps à chacune de ces sphères. Si dans les prochaines semaines vous avez besoin de passer plus de temps au travail pour développer un projet, c’est totalement faisable. En revanche, il faudra veiller à rééquilibrer par la suite en passant du temps avec votre entourage, en vous réservant un week-end en couple et même simplement en passant du temps avec vous-même

Pour distinguer votre vie personnelle de votre vie professionnelle, il est important de bien compartimenter et de faire les choses le plus en conscience possible. Lorsque vous êtes au travail, essayez de ne pas passer votre temps à penser au dîner en famille à organiser ce dimanche. Lorsque vous êtes à ce même dîner, ne laissez pas le travail envahir vos pensées. En vous recentrant et en vous exerçant à être pleinement là, dans l’instant présent, vous vous sentirez plus en adéquation avec votre quotidien et ainsi, serez plus enclin à trouver du temps pour vous. 

Si vous avez envie d’en savoir plus sur l’équilibre des domaines de vie, vous pouvez lire notre article Comment trouver son équilibre de vie ?

Optimiser son temps libre

Profiter de son temps libre ne signifie pas forcément ne rien faire du tout. Au contraire : en pratiquant une activité physique, vous permettrez à votre corps ainsi qu’à votre esprit de décompresser plus rapidement et en profondeur. Vous pouvez également vous essayer à une activité manuelle pour stimuler votre créativité, ou faire une sieste réparatrice pour recharger les batteries. 

Si vous êtes une âme hyperactive, laissez libre cours à la pluralité des actions : écoutez un podcast en marchant, lisez dans votre bain, regardez une vidéo en cuisinant… Ces duos d’activités sauront satisfaire les plus téméraires et vous permettront d’organiser votre temps libre de façon optimale. 

Trackez votre énergie

Vous ne le savez peut-être pas encore, mais certaines tâches de votre quotidien vous prennent trop de temps. En pensant soulager votre esprit, vous vous lancez dans la recherche de cette musique que vous avez en tête, et 1 heure plus tard, vous êtes encore sur YouTube. Résultat : le refrain tourne en boucle dans votre esprit et en plus, vous avez perdu du temps. Pour vérifier par où passent votre énergie et votre temps, vous pouvez installer un tracker de temps qui vous permettra d’identifier les tâches chronophages dans votre quotidien. Vous allez peut-être vous surprendre vous-même ! Des applications comme Toggl ou Clockify sauront révéler où file votre temps et ainsi, comment vous pourriez l’optimiser pour en garder de côté pour vous.

Déléguez autant que possible

Après avoir identifié les tâches qui dévorent votre énergie, pourquoi ne pas les confier à quelqu’un d’autre ? Déléguer est un des bienfaits les plus précieux. En externalisant certaines tâches de votre quotidien, vous ferez d’une pierre deux coups : vous libérer de la charge mentale, et avoir davantage de temps pour vous. Si vous en avez la possibilité, laissez votre repassage à une personne qualifiée. Faites tondre votre pelouse ou nettoyer votre voiture par un service. Ou encore : employez une personne en freelance pour cette tâche que vous ne parvenez pas à faire !

La délégation permet de se concentrer sur autre chose et de gagner en efficacité. De nombreuses personnes compétentes sauront prendre en charge ce qui vous pèse, et vous aurez ainsi le loisir de dépenser votre énergie dans des choses qui vous font du bien. 

Lire l’article 6 méthodes pour booster sa productivité

L’article 6 astuces pour trouver du temps pour soi est apparu en premier sur U-Raise.

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Mobilité interne et externe : comment accompagner vos collaborateurs dans leur évolution de carrière ? https://www.uraise.pro/mobilite-interne-externe-entreprise-collaborateurs/ https://www.uraise.pro/mobilite-interne-externe-entreprise-collaborateurs/#respond Tue, 03 Jan 2023 09:50:00 +0000 https://www.uraise.pro/?p=233 La mobilité et l'évolution de carrière sont des éléments clés du développement professionnel des collaborateurs.

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La mobilité de vos collaborateurs, qu’elle soit interne ou externe, vient pour la plupart du temps de leur propre initiative. Mais alors comment faire pour les accompagner au mieux dans leur évolution de carrière ? Voici quelques astuces qui devraient vous aider à proposer des parcours de carrière à la hauteur des espérances de vos collaborateurs.

1. Tout passe par la communication de vos politiques de mobilité interne et externe

Vous devez régulièrement communiquer sur vos politiques de mobilité interne ou externe. Le fait d’encourager vos salariés dans leur ambition de changement de poste doit faire partie de votre discours d’entreprise. Plus vous serez transparent quant à vos politiques de mobilités et plus vous pourrez accompagner sereinement vos collaborateurs dans leur évolution de carrière sans qu’ils ne ressentent le besoin de changer d’entreprise.

L’erreur la plus connue à ne pas commettre est celle de partager une fiche de poste en interne sachant que vous avez déjà quelqu’un en vue en externe. Cela va à l’encontre de la confiance qui peut s’instaurer entre les Ressources Humaines de votre entreprise et vos collaborateurs. Plus votre politique sera transparente et plus les relations seront apaisées au sein du groupe.

2. Assurez-vous de mettre tous les bons outils à disposition de vos collaborateurs

En permettant à vos salariés de bénéficier de formations ou d’acquérir de nouvelles compétences, cela les motivera à vouloir être acteur de leur mobilité interne ou externe. Plus vous mettez à leur disposition des outils qui pourront les faire évoluer et plus ils auront envie de s’investir dans l’entreprise.

Ce qu’il faut éviter à tout prix c’est “le plateau de carrière”, c’est-à-dire l’absence de perspective de mobilité. De ce fait, en intégrant des programmes de motivation vous permettrez à vos salariés d’établir leur plan de carrière souhaité. Et ainsi d’envisager une évolution au sein de l’entreprise. En leur donnant accès aux informations concernant le poste qu’ils souhaitent, à la formation voulue. Vos employés pourront ainsi être dans les meilleures conditions pour évoluer dans leur carrière.

3. Réalisez régulièrement et valorisez les entretiens individuels

Les entretiens individuels font partie intégrante du processus de mobilité. Pour connaître leurs envies et leurs ambitions, il est important de favoriser le dialogue. Et de leur permettre de s’exprimer sur leurs motivations au sein de l’entreprise. Le dialogue est tout aussi important pour le salarié que pour vous. Afin que le travail soit efficace des deux côtés. Cela leur permet aussi d’envisager sereinement une évolution de carrière.

Il existe 4 entretiens à ne pas laisser de côté : l’entretien d’évaluation annuel, l’entretien professionnel, l’entretien de seconde partie de carrière et enfin le bilan d’étape professionnel.

4. Accompagnez vos collaborateurs sur leur changement de poste que ce soit en interne ou en externe

Pour qu’un collaborateur soit impliqué dans son évolution de carrière, vous devez être en mesure de l’accompagner au mieux grâce à votre politique de mobilité. Qu’il souhaite évoluer au sein de votre entreprise (mobilité interne) ou évoluer dans une autre entreprise (mobilité externe), vous devez mettre en place un plan d’accompagnement. Pour qu’il puisse appréhender ce changement dans les meilleures conditions.

Ce plan d’accompagnement doit les aider à développer les compétences nécessaires. Pour leur futur poste dans un premier temps et dans un second temps, leur permettre de bénéficier d’un suivi une fois qu’ils auront pris le poste.

Une bonne politique de mobilité interne et externe, c’est vous garantir une bonne communication. Et une valorisation de votre entreprise auprès de vos collaborateurs. Pour en savoir plus sur nos solutions c’est par ici.

Pour aller plus loin, notre article sur : comment proposer une formation à mes salariés ?

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