Archives des épanouissement professionnel - U-Raise https://www.uraise.pro/tag/epanouissement-professionnel/ Wed, 12 Apr 2023 12:13:09 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.1.1 https://www.uraise.pro/wp-content/uploads/2022/11/cropped-logo-32x32.png Archives des épanouissement professionnel - U-Raise https://www.uraise.pro/tag/epanouissement-professionnel/ 32 32 Raviver la flamme pour son job https://www.uraise.pro/raviver-la-flamme-pour-son-job/ Fri, 14 Apr 2023 04:30:00 +0000 https://www.uraise.pro/?p=2680 La vie professionnelle, c’est comme une relation personnelle : il y a des hauts et des bas, c'est normal ! Mais si la démotivation s'installe, il est temps de mettre quelques actions en place

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Nous passons une grande partie de notre vie au travail (a priori 99 117 heures en moyenne !), alors autant s’y rendre de bon cœur et de la façon la plus épanouie possible ! Mais exercer un job qui nous plaît, est-ce si simple ?

La vie professionnelle, c’est comme une relation personnelle : ça demande de l’entretien, on donne et on reçoit à la fois, on y accorde de l’énergie, il y a des hauts et des bas… C’est normal.

Cependant, cela peut parfois être une source de mal-être plus profond. 

Vous traversez peut-être une période de « brown-out » ? Elle désigne littéralement une baisse de tension d’un appareil électrique. Elle correspond à une perte de sens et d’engagement au travail qui entraîne un épuisement professionnel d’origine psychosociale.

Si vous ressentez cette source de démotivation et de souffrance dans votre job depuis un certain temps, c’est sans doute le moment de mettre quelques actions en place.

Vous avez envie de redonner tout le pimpant de votre vie professionnelle ? Alors, activez le kit de sauvetage de votre emploi avec U-Raise !

1. Prendre du recul

La solution n°1 : on arrête de faire l’autruche. On s’attarde et on décortique enfin le flou que l’on peut ressentir. Est-ce lié à votre fonction ? Au sens de votre job ? Commencez par mettre les choses à plat et faire le point. Voici quelques pistes pour vous épauler :

Quelle est l’origine de votre démotivation ?

L’équation est simple : si l’on ne connaît pas d’où vient le malaise, on ne peut pas le résoudre ! 

Dans votre position, qui aidez-vous ? Pourquoi avez-vous pris ce job ? Quel est le moteur dans tout ça pour vous-même ? 

Ces interrogations vous feront revenir aux désirs profonds de votre arrivée dans cette organisation, à la fois sur le plan des relations que des raisons de votre choix. Cela vous permettra de voir si vous êtes toujours en accord avec ces éléments.

Qu’est-ce qui vous apporte de la joie dans votre job ? 

C’est LE levier à enclencher ! Profitez-en pour provoquer le maximum de situations qui entrent dans ce cadre pour favoriser vos sources de bien-être au travail.

Par quelles actions vous sentez-vous accompli dans votre poste ? 

Le succès demeure l’objectif principal de chaque être humain. Le plaisir et la satisfaction de se réaliser sont des facteurs d’implication, et nous mettent en mouvement. Pour avancer sur votre cheminement professionnel, constater que vous évoluez personnellement est important.

En parler avec transparence avec vos proches ou des personnes de confiance au travail comme des collègues est aussi une solution. Cela peut vous soulager déjà du poids d’une perte de motivation.

2. Ajuster son poste

Si le contenu de vos missions est à l’origine de votre démission intérieure, pourquoi ne pas solliciter un entretien avec votre chef ? 

Ainsi, vous pouvez demander à acquérir de nouvelles fonctions ou responsabilités différentes. Cela peut d’ailleurs être en plus ou en moins si vous sentez que vous êtes en surcharge de travail. Dans tous les cas, évitez de frôler le bore-out : l’ennui par le manque d’activité à son emploi, ou le burn-out : une période prolongée de boulot exigeante sur le plan émotionnel. Comme leur cousin, le brown-out, évoqué plus haut dans l’article, ces trois situations ne sont pas à prendre à la légère puisqu’elles peuvent vous mener à la dépression.

Évidemment, ce n’est pas à confondre avec un simple moment de passage à vide qui peut arriver dans tout métier ou entreprise.

Parfois, un léger changement dans l’organisation de travail peut aussi impacter votre vie professionnelle quotidienne.

Pourquoi ne pas activer la mobilité interne et demander de glisser vers un autre poste dans votre société si vous en ressentez l’envie !

Dans tous les cas, expliquez votre mal-être et exprimez-vous avec tact. Vous conservez de cette façon votre intégrité, mais entamez le dialogue. Il est important d’apprendre à dire non et de savoir poser ses limites !

Lire l’article “Apprendre à dire non et poser des limites au travail

3. Se fixer des objectifs par jour

Pour pallier une période de brouillard, pourquoi ne pas reprendre les rênes de votre quotidien et y ajouter une touche de challenge ?

Effectuez une liste de tâches à faire dans la journée. Vous pouvez les découper avec des horaires à respecter pour les achever avec plus d’efficacité !

En ayant des objectifs clairs et précis, dites aussi bonjour à la dopamine ! Cette molécule du bonheur agit en amont de l’atteinte de vos cibles et en aval : délivrée par le biais de récompense.

4. Se récompenser

Oui, célébrer chaque succès, du plus infime au plus important, aide à concentrer sa vision sur les réussites !

Selon votre ancienneté dans votre job, il se peut que vous ayez perdu de l’engouement à fêter les victoires. Il n’y a pas de mal à ça. Cependant, voir le verre à moitié plein peut vous redonner goût à effectuer vos missions actuelles avec plus d’entrain et leur rendre leur éclat ! 

Cette récompense peut prendre différentes formes : un moment en équipe pour l’arrivée d’un nouveau client, un temps de bien-être personnel pour finir un dossier dans les temps, un petit cadeau qu’on se fait à soi-même pour une quelconque réussite pro, etc.

De plus, cette méthode facile pour booster sa productivité vous assure l’atteinte des objectifs précédemment cités, un joli cercle vertueux !

5. Analyser son état d’esprit

Depuis quand votre petite voix intérieure a-t-elle décrété de ne broyer que du noir ? Rééduquer ses pensées, c’est possible ! C’est une question de perception. Pour les positiver, cela prend du temps et commence par une prise de conscience.

Dans l’esprit de l’astuce précédente, faire un court check-up de votre état peut toujours vous être bénéfique.

Selon Carol Dweck, professeur de psychologie à l’Université de Stanford, il existe deux types de mindset :

  • État d’esprit fixe : vous croyez que votre intelligence et vos talents sont figés. Le goût de l’effort n’a pas sa place, seul le talent permet de réussir. 
  • État d’esprit de croissance : vous pensez que vos capacités de base et qualités peuvent évoluer. Vos aptitudes et votre cerveau ne sont qu’un point de départ ! Le reste est une question d’apprentissage, d’efforts et d’expérimentation.

Alors, avez-vous reconnu votre équipe ? ☺

6. Se créer un emploi du temps précis

Il doit être suffisamment précis pour donner envie de vous appliquer, mais pas trop, afin de ne pas vous mettre la pression ! En effet, en vous organisant et en connaissant ce que vous allez faire de votre semaine (ou mois ou année ☺), vous prendrez plus à cœur d’entamer votre travail sans trop tergiverser. 

Autrement, bonjour les risques d’une vision floue, d’ennui et d’un désintérêt.

Rappelez-vous, sans destination définie, on ne va nulle part ! 

7. Casser la routine

Vous ressentez qu’une certaine monotonie qui s’est installée dans votre job ? 

Programmez un déjeuner avec les collègues, testez une autre méthode de travail, essayez une réunion en co-walking pour marcher et prendre un bol d’air frais, intervertissez des créneaux horaires si possible…

Abusez des latitudes dont vous disposez dans votre job pour ne plus vous sentir « rouillé » ! Ainsi, vous pourrez casser un rythme trop ancré et des journées trop similaires.

8. Prendre soin de soi

Accordez-vous du temps : prendre des pauses, prendre soin de vous en dehors du travail et respecter un équilibre vie professionnelle et vie personnelle est essentiel. 

Faire une marche le temps du midi, écouter vos limites, s’octroyer des moments détente, faire des exercices de respiration…

En prenant soin de vous, vous prendrez soin des autres et aussi de votre bonheur au travail. Pour retrouver l’étincelle dans votre travail, pensez alors à vous chouchouter ! 

Lire l’article “5 clés pour booster son énergie

9. Personnaliser son environnement de travail

On n’y pense pas assez, mais adapter votre poste de travail et son cadre peut être source de bien-être. Le but est de vous sentir un peu comme « chez vous » en version professionnelle, et recréer des conditions propices à votre épanouissement pro. Vous pouvez personnaliser votre bureau au sein de l’entreprise, votre poste de travail à distance… 

Et dans votre environnement, on compte aussi les individus qui vous entourent, donc préférez être accompagné par des gens positifs et bienveillants !

Alors, avez-vous pu piocher quelques idées pour redonner souffle à votre période de creux au travail ?

Si malgré ces actions la motivation ne revient pas sur du moyen ou long terme, un changement plus profond sur le plan professionnel peut être de circonstance.

Ce qui est attendu de vous dans votre job et ce qui est important pour vous doivent avoir des points de contact.

Pour mettre au clair cette sensation de brouillard qui vous entoure, réaliser un bilan de compétences peut être une source de mieux-être. 

U-Raise peut vous accompagner à cela, sentez-vous libre de nous contacter !

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Slashing : pour une vie pro sur-mesure https://www.uraise.pro/slashing-vie-pro-sur-mesure/ Fri, 17 Mar 2023 05:30:00 +0000 https://www.uraise.pro/?p=2628 Le monde du travail évolue vite, la digitalisation, le nomadisme professionnel, les multiples activités… Les codes traditionnels se modifient en profondeur et la tendance du slashing se développe… Oui, cet art de jongler entre plusieurs activités professionnelles ! Vous aimez votre job actuel, mais vous êtes tenté par une autre profession qui n’est pas en lien ... Lire la suite

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Le monde du travail évolue vite, la digitalisation, le nomadisme professionnel, les multiples activités… Les codes traditionnels se modifient en profondeur et la tendance du slashing se développe…

Oui, cet art de jongler entre plusieurs activités professionnelles !

Vous aimez votre job actuel, mais vous êtes tenté par une autre profession qui n’est pas en lien avec la première ? Peut-être êtes-vous un slasheur en devenir ! ☺

Mais à quoi cela correspond-il exactement ? Quels sont les avantages à être slasheur ? Et est-ce que c’est fait pour tout le monde ?

U-Raise vous guide pas à pas dans l’univers du slashing et vous présente ses principales nuances…

Le slashing, qu’est-ce que c’est ?

Le terme « slasheur » est issu de l’anglais « slash ». Il désigne la barre oblique que l’on utilise parfois pour séparer deux métiers qu’une personne exerce parallèlement. 

Pour la première fois, il est utilisé en 2007 par l’Américaine Marci Alboher dans l’ouvrage « One person/Multiple carreers ». Elle y prône un nouveau modèle de réussite professionnelle et personnelle.

Il signifie ainsi l’idée de cumuler deux emplois, ou plus, dans des entreprises ou activités professionnelles différentes. On peut le qualifier comme du « pluri-travail ». On « slashe » en passant d’un métier à un autre.

La tendance du slashing 

Même s’il ne s’est intégré dans notre vocabulaire que récemment, le concept n’est pas si nouveau !

Léonard de Vinci, ça vous dit quelque chose ? Né en 1452, le célèbre inventeur a brillé dans des domaines très différents comme l’art (la peinture, la musique), mais aussi l’architecture, l’ingénierie militaire, et les sciences (l’astronomie, les mathématiques, l’anatomie).

Ou encore le mathématicien René Descartes, qui a marqué le 17e siècle également en tant que philosophe, physicien, biologiste… 

On les appelait à l’époque de la renaissance des « polymathes », premier terme pour désigner le fait d’être « multi-cartes ».

Depuis son introduction officielle dans notre langue, la tendance du slashing est en hausse.

Un peu plus de 2 millions de Français cumuleraient les activités. Attention cependant à ce chiffre. Il est à prendre avec précaution puisqu’il est difficile de séparer les slasheurs de ceux qui ont au moins deux emplois par nécessité financière. C’est un aspect supplémentaire de la notion, elle s’effectue par envie, et non pas par obligation.

Dans notre société, on efface petit à petit la norme de l’ancienne génération : faire carrière dans une seule entreprise tout au long de sa vie. On ne prône plus « l’hyperspécialisation » de l’ère industrielle. Les nouvelles valeurs et l’évolution de la vie au travail ont créé une réelle rupture avec le modèle traditionnel. Une fois l’aspect sécuritaire atteint, l’objectif ultime est l’épanouissement et le bonheur au travail.

Le CDI, désacralisé ?

L’évolution du marché du travail, de l’économie et de nos modes de vie influence directement cette « hybridation » du travail.

Ainsi, les personnes sont de plus en plus touche-à-tout pour plusieurs raisons : de multiples passions, en réponse à un CDI possiblement idéalisé, par curiosité, par besoin d’un rythme quotidien différent, par envie de complétude…

Les modèles de slashing sont infinis comme les combinaisons de métiers: moniteur de ski/ animateur/directeur de colonies de vacances, coach sportif/pompier, psychologue/auteur/conférencier…

  • Nous pouvons citer l’exemple de Cyril Dion, né en 1978, il est aujourd’hui réalisateur, écrivain, militant écologiste, mais aussi poète.
  • Mathilde Rousseau, est, elle, céramiste et danseuse, elle offre en plus des stages expérimentaux.

Qu’en est-il des entreprises ? Les employeurs qui sortent leur épingle du jeu sont ceux qui s’adaptent à la transformation des modes de travail. Ce sont les sociétés qui accompagnent leurs salariés dans leur évolution : développement des compétences, intrapreneuriat, formation…  Être force de proposition et garder l’esprit ouvert sont les ingrédients d’une relation professionnelle durable pour des actifs épanouis.

Lire l’article Intrapreneuriat : Innover et entreprendre sans risques 

Pourquoi devenir « slasheur » ?

Un slasheur est un individu qui choisit de porter différentes casquettes professionnelles par volonté. Considérés comme des « travailleurs caméléons », en voici les nombreux avantages :

  • Multiplier les opportunités professionnelles. En effet, votre cercle d’intervention s’agrandit et se diversifie, tout comme votre réseau ! 
  • Allier ses envies personnelles et professionnelles : différentes compétences, des centres d’intérêt variés… On peut parler ici d’individus multipotentiels. Ils se définissent comme des personnes qui se passionnent ou excellent dans plus de deux domaines distincts (c’est-à-dire, l’inverse d’un spécialiste).
  • Se construire une vie professionnelle sur mesure. En étant slasheur, vous avez la liberté de passer d’une activité à une autre. Souvent, cela permet aussi de pallier la non-découverte du « job parfait ».
  • Développer sa polyvalence. Avoir des métiers différents et assurer leurs missions respectives. La diversité est bien au rendez-vous ! ☺
  • Apprendre en continu. Si vous êtes de nature curieuse, votre soif va être comblée !
  • Éviter l’ennui au travail. En effet, jongler entre plusieurs activités requiert un certain équilibre, du temps et de l’énergie ! C’est alors difficile d’avoir une routine ☺ 
  • Varier ses sources de revenus. Il est courant d’avoir un emploi « ressource » et une activité davantage « passion ». La seconde répond souvent à une vocation ou une envie artistique, créative, originale…
  • Enrichir sa confiance en soi. Savoir se vendre et maîtriser plusieurs sujets au quotidien, ça aide !
  • Gagner en bien-être au travail. Le slashing est source d’épanouissement et de sens au travail d’un point de vue QVT (qualité de vie au travail). Il peut combler un manque dans le cas d’une seule activité professionnelle afin de faire « ce qui vous plaît » !

Lire l’article “Je ne sais pas me vendre !” Se mettre en valeur avec finesse

Êtes-vous fait pour le slashing ?

Le modèle

Le slashing peut s’exercer de différentes façons. Vous pouvez être :

  • Salarié avec un autre emploi salarié
  • Salarié avec une activité non salariée
  • Non-salarié avec une autre activité non-salariée.

Et ce, que ce soit pour deux activités, ou plus !

/ ! \ Point de vigilance

Évidemment, si vous êtes employé dans une entreprise, les activités annexes à celle-ci ne doivent pas être concurrentes de votre emploi salarié. Cela peut être toléré, mais il faut, dans tous les cas, en informer votre employeur.

Pensez également à vérifier la convention collective de votre entreprise et votre contrat de travail. En effet, certains adoptent une clause d’exclusivité et certains métiers interdisent l’exercice d’une activité parallèle.

Enfin, vous devez bien distinguer toutes les activités : ne pas utiliser le matériel et le temps de travail de votre activité salariée à la seconde.

  • Respectez donc bien ce devoir de loyauté au risque d’une convocation au tribunal et d’un licenciement !

Quelques points d’un slasheur né :

  • Vous pensez que la vie est courte et que cela vaut le coup d’en expérimenter plusieurs ? ☺
  • Vous avez envie de vous assumer pleinement, avec parfois vos désirs pros atypiques, bizarreries ou extravagances ? Rien ne vous empêche d’être harpiste ET joueur de jeux vidéo professionnel !
  • Vous brûlez d’envie de vivre de votre passion !
  • Vous souhaitez dynamiser et stimuler votre vie professionnelle. Après tout, pourquoi ne pas ajouter un peu de piment dans vos jobs ! ☺
  • Vous vous sentez à l’aise avec le fait de parler de vous et de vous « commercialiser » (akapersonal branding”*).
  • Être slasheur c’est aussi multiplier les contacts, un bon relationnel et un réseau qui se renforce !
  • Vous aimez être indépendant et piloter, même si vous conservez une activité salariée. Vous voulez alors expérimenter cette partie en toute autonomie !
  • La flexibilité est importante ! S’adapter aux différents secteurs d’activité, aux diverses typologies d’interlocuteurs, être capable d’imbriquer les impératifs de chacune… Un vrai travail d’équilibriste, on vous dit !
  • Vous savez vous autodiscipliner. Eh oui ! Tenir les échéances, rendre du travail qualitatif sur toutes vos activités… C’est du boulot. À vous de faire les bons choix !

Lire l’article 7 méthodes pour prendre les bonnes décisions 

Alors, êtes-vous une graine de slasheur ? ☺

Gardez en tête qu’il ne faut pas sous-évaluer la charge mentale liée au fait de cumuler plusieurs emplois.

En effet, les dates butoirs qui se croisent, l’énergie psychique ou physique qu’il vous reste pour produire et effectuer vos autres activités, gérer l’aspect communication, comptable, création, etc. 

Pensez également que si les revenus se diversifient, les achats ou investissements aussi ! (matériel, logiciel, équipement, tenue…)

Pour conclure, nous pouvons remarquer un important développement du slashing ces dernières années.

Effectivement, nos façons de vivre, de concevoir notre vie et d’appréhender le marché impactent de nombreux domaines. Les conseillers d’orientation vont avoir du pain sur la planche ! ☺ 

Dans nos vies, nous pouvons constater que nous sommes déjà tous des slasheurs en puissance ! N’êtes-vous pas gestionnaire de vie amoureuse, animateur dans une vie de famille, manageur de vos relations sociales, représentant de votre sphère professionnelle, administrateur de vos tâches domestiques… ?

Si slasher est un mode de travail qui vous attire, peut-être faut-il le tester sans risque avant de vous lancer sans filet ? Le side project est certainement fait pour vous !

Lire l’article Le “side project” : entreprendre en parallèle de son job

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